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- Publié le 18/10/2023
- Mis à jour le 26/11/2024
Interpellations, perquisitions, déferrements et transferts, ou encore, protection de hautes personnalités sont quelques-unes des missions les plus emblématiques confiées au GAO depuis sa création en 2003.
Pour ce faire, le groupement mène des opérations de recrutement basées sur différents types de tests physiques et psychologiques. Pour la première fois, la DGSI lève le voile sur ces heures où se joue la sélection des futurs membres du GAO, avec des images uniques et exclusives.
Pour entrer au GAO, les tests sont calibrés au plus juste : endurance, capacité d’adaptation et ténacité sont les maîtres mots qui caractérisent le mental des hommes parvenus au bout des épreuves.
La maitrise des gestes techniques sous stress, la réactivité et la combativité sont testées tout au long de la semaine, de jour comme de nuit, à l’aveugle ou dans le bruit, dans l’eau, en hauteur, sur terre, voir … par terre.
Au terme d’un rude parcours et après une ultime étape de deux mois de formation intensive, les candidats sélectionnés pourront rejoindre le groupement.
Zoom sur 5 jours et 4 nuits de mises en situations hostiles.
La DGSI, chef de file en matière de lutte anti-terroriste
L’augmentation du nombre de jihadistes issus du territoire national désireux de commettre des actions violentes en France ou de rejoindre la zone syro-irakienne à la fin des années 2010, soutenus par l’expansion des mouvements jihadistes, a alors porté la menace terroriste visant la France à un niveau inégalé.
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Les services judiciaires anti-terroristes
À compétence nationale, la sous-direction des affaires judiciaires de la Direction générale de la sécurité intérieure est d’abord un service de contre-terrorisme (pré-attentats).
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